Toi, Femme sauvage
Femme à l'ombre de l'âge,
De ta majestueuse traîne
Ornée telle une Reine,
Tu te dresses
De ce moment d'ivresse,
En ce matin éclairé
En ton corps reposé,
Tu laisses cette fraîcheur
À l'aube de la lueur,
Envahir ton cœur
De toute son ardeur,
De ton âme ensorcelée
Tu te laisses enchantée,
Connectée au Divin
De ce monde sans fin,
Où le corps transparaît
En ses mille reflets,
De toute ta féminité
Je te sens, Honorée !
le 27 Mai 2020, aux lueurs du premier soleil
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